Souvent, l’expression hackathon apparaît dans les articles des journauxde la presse écrite et internet. Ce terme renvoie à un événement. Il regroupe des passionnés d’informatique en général et des développeurs en particulier. Répartis en groupe ou de façon individuelle, les participants travaillent sur des projets informatiques. Ici, vous pouvez en savoir plus sur le thème de la numérisation.
Le hackathon est à la fois un projet et une activité ludique
Le hackathon permet aux personnes présentes de montrer leurs réalisations individuelles. Ainsi, un programmeur spécialisé dans des applications de sécurité pourra expliquer les spécificités de ce secteur d’activité. De nombreux programmeurs et groupes viennent aux hackathons avec des produits qu’ils ont conçus. Certains participants apportent des maquettes de leurs futurs projets. Les objectifs peuvent être de deux natures : d’une part, profiter des outils développés par d’autres programmeurs pour finaliser le projet, d’autre part, demander à des personnes présentes d’investir dans les projets présentés.
Généralement, tout hackathon permet d’aboutir à des propositions des processus innovants. Ces derniers peuvent être l’amélioration de logiciels ou la conception de nouveaux logiciels et applications.
Le hackathon, étymologie du mot
L’expression “hackathon” est un mot-valise obtenu en mélangeant deux autres mots “hack” et “marathon”.
La référence au marathon provient du fait que les personnes présentes travaillent pendant de longues heures sans aucune interruption. Ces rencontres durent parfois 48 heures. Elles se déroulent en général samedi et dimanche.
L’autre mot est “hack”. Il désigne les techniques d’intrusion dans un système informatique. L’intrusion sur Internet peut être motivée par des raisons militantes. C’est le cas des actes effectués pour trouver de l’information, pour identifier des malversations et les divulguer. Les “hackers” peuvent aussi avoir des intentions négatives. Certains experts en programmation prennent le contrôle de systèmes informatiques et exigent de l’argent pour redonner aux propriétaires des réseaux leurs accès.